Black Velvet
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 Urbanová Eliška

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Eliška Urbanová
Black Velvet
Eliška Urbanová

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MessageSujet: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška EmptyJeu 5 Juil - 10:06

Urbanová Eliška ▲ dossier scolaire

"How to improve the world (You will only make matters worse)" (John Cage)

Urbanová Eliška 784673688577scopie

    INFOS GÉNÉRALES


    → NOM: Urbanová
    → PRÉNOM: Eliška
    → ÂGE:17 ans
    → ORIENTATION SEXUELLE:hétéro
    → GROUPE:Black Velvet
    → VACANT: no
    → AVATAR: Ristu Tainaka ♦ K-on!




    INFOS PERSOS


    → ORIGINES(S): Tchèque
    → SURNOM(S): Elka
    → AMBITION: éviter les emmerdes
    → ANNÉE: 2nd année d'étude
    → EMPLOIS:
    → PHOBIE(S): la ruine



your look


    CARACTÉRISTIQUES


→ TAILLE: 1m68 pour…
→ POID:… 60 kg
→ CHEVEUX:Des cheveux bruns, ni plus, ni moins. Coupés au carré. Rien de bien exceptionnel
→ YEUX:Là encore, bruns. Rien de spécial à l’horizon.



    SIGNES PARTICULIERS

Signes particuliers ? Que nenni ! La petite Elka est au contraire une véritable mademoiselle tout-le-monde, dotée d’un physique passe-partout assez difficile à retenir. Mais notons quand même que c’est une personne très négligée. Jamais maquillée, toujours habillée avec le premier habit venu, les ongles rongés, les épaules parfois voutées, les cheveux coiffés avec les doigts, et la liste pourrait être plus longue. Elle se fout éperdument de son apparence, et les fautes de mauvais goût sont légions dans ses tenues.


your psychology


    GOÛTS

En bonne enbourgeoisée, Elka aime l’art, et l’argent. Deux choses sa-cré.
Le gène Picsou , chez elle, c’est au moins 75% de son ADN. Radine notoire, Elka veut toujours plus d’argent, et se refuse toujours catégoriquement à le dépenser. Ce qui explique notamment certains de ses comportements. Si la demoiselle ne se maquille pas, ne fume pas et j’en passe et des meilleures, c’est parce que ça coûte trop cher. Si elle fait preuve d’un tel acharnement à amasser de l’argent, ce n’est pas parce qu’elle rêve de se payer un voyage sur mars, mais plutôt parce que l’argent, c’est le pouvoir, la sécurité. La corruption c’est son enfant chéri.
Parallèlement, l’amour pour l’art. Là encore c’est une passion folle. De l’art antique à la plus contemporaine des toiles entièrement blanches, Elka idolâtre certains artistes. Et puis il faut dire aussi que ce qu’elle aime dans l’art, c’est se sentir cultivée. Savoir qu’elle en sait plus que les autres, bref, étaler sa science. Cela dit, il est vrai qu’elle en a pas mal, des choses à étaler. Du classicisme français du XVIIème à la scène alternative punk-rock des années 70, elle en a des choses à vous dire.
Bref, argent et culture, Eliska est le stéréotype même du bobo, le « bourgeois bohême », qui aime à s’imaginer ouvert et généreux, confortablement installé dans son appartement hors de prix tapissé d’œuvres d’art encore plus chères.

Pour ce qu’elle n’aime pas, il y a de tout et de rien. Un peu suisse sur les bords, Eliska évite soigneusement de détester trop ouvertement les choses trop sujettes à polémique. Comme tout le monde, elle est contre la dictature, la faim dans le monde, les enfants soldats, la pollution, mais dès qu’il s’agit de débats un peu plus subtils, elle a vite tendance à s’adapter à l’opinion de son interlocuteur. Pour le reste, elle déteste, ponctuellement, tout ce qui peut se mettre en travers de ses petits caprices, ce qui forme un ensemble aussi divers que varié. Cela peut aussi bien être un surveillant, qu’une porte, qu’un chat, que vous, qu’un bus, qu’une bordure de trottoirs, et on en passe, et on en passe.
Finalement, il n’y a rien qu’elle déteste vraiment, notamment grâce à cette facilité exceptionnelle à retourner sa veste, ce que certains qualifientd’opportunisme. Elle, appelle ça de la flexibilité.
Notons enfin parce qu’il faut bien le dire, qu’elle a en horreur les salsifis, ces choses infectes qui se prétendent légumes.

    CARACTÈRE

Une partie très important qui parle de la façon dont votre personnage se comportera tout au long de ses rp. Ses qualités, ses défauts, son allure... Comment se comporte-t-il ? Que se passe-t-il dans sa tête ? Minimum 20 lignes.
Longtemps fille unique, gâtée et pourrie jusqu'à la moelle, Eliska est avant tout une capricieuse. Elle agit surtout par impulsion, mue par le désir de réaliser son caprice du moment. Lequel peut être quelque chose d’aussi peu subtil que l’envie de manger un hamburger et rien d’autre. Elle est assez je m’en foutiste, ne s’inquiète jamais des conséquences de ses actes et prend à la légère la plupart des situations .Pourtant, bien qu’impulsive, elle n’agit que rarement sans réfléchir, et ne se lance jamais dans une action qui pourrait lui porter préjudice. Avant d’agir la question est toujours la même : « Si je le fait, qu’est ce que ça m’apporte ? Qu’est ce que je risque de perdre ? ». Individualiste pure, le mot solidarité ne lui évoque pas grand chose de concret. Mythomane sur les bords quand il s’agit de défendre ses intérêts, elle rejette allègrement ses fautes sur tout et n’importe qui. Elka est aussi d’une lâcheté affligeante. Le principe de responsabilité partagée, c’est son rempart contre la culpabilité. D’ailleurs, même quand elle n’a personne avec qui partager les responsabilités, elle évite soigneusement de culpabiliser. Comme dit précédemment, elle est radine , et d’un égoïsme rare. Son seul objectif dans la vie, c’est d’éviter d’être mêlée à de trop gros problèmes, et éviter toute prise de tête. Dans ce but, elle évite soigneusement d’avoir une opinion trop marquée, et elle sera souvent d’accord avec vous, tout comme elle pourra être deux minutes plus tard parfaitement d’accord avec votre pire ennemi.
Pour contrebalancer ce portrait peu reluisant, reconnaissant lui quand même quelques qualités. Elka est une personne plutôt facile à vivre, peu contrariante, comme nous l’avons vu. Elle est naturellement portée sur la bonne humeur, et rit plus souvent qu’elle ne pleure. Très cultivée, elle est également très ouverte d’esprit, et se refuse catégoriquement à juger les gens sur leur passé. C’est une personne de l’ici et maintenant, qui se fout éperdument du passé comme du futur. Certaines mauvaises langues dont je fais partie vous diront que si elle est aussi permissive, c’est encore une fois parce qu’elle évite soigneusement de se créer des ennuis. Rarement sans arrières pensées, ça ne l’empêche pas d’être une assez agréable compagnie, notamment grâce à sa légèreté et son désir d’éviter les prises de tête.

    SECRET(S) ?

Il y à peut-être autre chose, un secret que personne ne sait, que les gens ne peuvent pas deviné en vous regardant. Vous nous cachez quelque chose ? Vous n'avez pas l'choix, cette partie est pour vous, on ne veut pas de surprise dans le rp après !
La petite chose que personne ne sait, c’est sans doute le détail du meurtre de son petit frère. N’espérez pas la voir un jour faire une crise de larme sous le poids de la culpabilité, car cet incident n’a rien changé à la manière d’être de la jeune fille. D’ailleurs il n’est pas question pour elle de se considérer comme une meurtrière et pour cause, le petit être n’était pas né. Lorsqu’Elka a poussé sa mère dans l’escalier, ce matin d’octobre, celle-ci en était à son huitième mois de grossesse. On ne peut pas tuer une personne qui n’est pas née, CQFD. Comme quoi la culpabilité et la petite tchèque, c’est incompatible. Il faut dire aussi que pour laver un peu la honte d’avoir une fille si peu modèle, la famille a eu le soin de mettre la fausse couche sur le compte d’une chute « accidentelle » dans l’escalier. Sur le papier, Elka est blanche comme neige, et ça l’arrange plutôt bien.

    POSSESSIONS

Il y à peut-être quelque chose que votre personnage traîne toujours sur lui, où qu'il n'aime pas laisser derrière. Si c'est le cas, indiquez-le ici, et pourquoi pas nous donner l'histoire de ce grigri ? Mis à part sa carte bleue, pas grand chose. Malheureusement pour elle, depuis une certaine chute dans les escaliers, le compte en banque qui s’y rapporte a été minutieusement vidé.


your story


    FAMILY


Parlez nous de votre famille, c'est souvent plus intéressant que l'on ne le pense. Les membres de celle-ci, frère, sœur, parents...

La famille. Pour celle d’Eliska, remontons si vous le voulez bien, en 1938, côté paternel. En 1938 donc, Hitler rattache la region tchéquoslovaque des sudètes au IIIème Reich. Chez les aïeux Urbana, on brandit fièrement sa carte du parti nazi, et on salue allègrement le Führer. A un tel point que le benjamin de la famille entrera dans les rangs de la Werhmart pour « servir de dernier rempart de l’Europe contre le Bolchevisme ».
Quelques mois plus tard, les soviétiques entraient dans Berlin et faisaient flotter leur drapeau sur le Reichstag.
La famille dont nous parlons changeât vite son fusil d’épaule, et dans les conversations, on en finissait plus de louer le camarade Staline, ainsi que le coup d’état du Parti Communiste tchèque, qui fît du pays une démocratie populaire.
En 65, le benjamin dont nous avons déjà parlé s’enfuyait aux Etats-Unis, emmenant son fils et sa femme. Là, on adopta un slogan familial plus adapté, plus court, mais aussi plus efficace : « crève, pourriture communiste!”. Libre entreprise et libre concurrence furent les deux parents d’une société prospère qui devient une immense firme transnationale sous la direction du fils, à savoir le père d’Eliska.
En 1991, l’URSS éclatait, et l’homme décidait de revenir vers ses terres d’origine, d’où il expropria allègrement les locataires qui avaient obtenus ces lieux grâce à la collectivisation communiste. Il continua sur sa lancée, se déclarant tantôt pour l’Union Européenne, tantôt contre, en fonction du contexte.
Influencée par cette longue tradition familiale de l’opportunisme et du retournement de veste, Elka avait tout pour prendre un jour la tête de l’affaire. Il lui manquait malheureusement un brin d’humanité pour y réussir.
Quand à la mère d’Eliska, c’était une femme qui en plus d’être belle, douce et gentille, n’aurait rien perdu à être intelligente. Or elle se trouvait être d’une simplicité d’esprit affligeante, et chaque question quotidienne se transformait pour elle en véritable dilemme. Incapable de se forger une opinion propre, elle a toujours pris les dires de son mari pour paroles d’évangiles. Quand aux relations qu’elle entretenait avec sa fille, il faut avouer que la pauvre femme n’avait jamais réussit à comprendre la subtil différence qui existe entre une poupée et un enfant.

    STORY

Vous savez ce qu'il vous reste à faire. De votre naissance à aujourd'hui, n'oubliez pas que parfois, de simples petits détails sont importants. Un trentaine de lignes minimum.
“Ma petite, ma toute petite, mon joli bébé » susurrait Mme Urbanová le jour où elle revint chez elle avec son enfant dans les bras. Une petite fille bien tardive, que l’on osait plus espérer, après trop de tentatives infructueuses. Une petite fille plutôt jolie d’ailleurs, qui ne cessait d’ouvrir et de refermer doucement ses petites mains potelées sur de l’air.
Enchantée, débordante de bonheur au point que ça lui sortait par les yeux, la mère était incapable de faire autre chose que regarder le poupon. Elle n’osait pas le poser, n’osait pas l’embrasser, n’osait pas lui parler. Elle restait debout ou assise, sotte, en fixant intensément l’enfant, comme effrayée à l’idée qu’il se volatilise si elle détournait un instant le regard. Déjà enfant, elle était comme ça. Elle se souvenait très bien de ce noël –quelle année était-ce ?- et de cette poupée de porcelaine qu’elle avait reçue. C’était alors la même sensation.
« Tu verras ma petite, je vais prendre bien soin de toi, nous allons bien nous amuser ensemble. »

6 ans plus tard, ornée de rubans, de frous-frous et de souliers vernis, Eliška adoptait sagement l’attitude de la petite bourgeoise aux parents immensément riches. Encouragée par une mère qui avait oublié de devenir adulte, elle aimait les chevaux, les robes, les dauphins, la musique -mais seulement classique-, les ballons, les cerceaux, les fraises, et modérément le chocolat, pour ne pas grossir. Terriblement gâtée, elle était égoïste, exigeante et insupportable. Elle avait l’attitude horripilante des petites filles qui peuvent tout obtenir avec un sourire, ou, le cas échéant, avec deux ou trois fausses larmes. Ses parents lui obtenaient tout, de la robe chanel à la place VIP pour un quelconque show qu’elle ne regardait même pas. Les pots-de-vin étaient le mode de paiement généralisé des caprices en tout genre de la petite demoiselle. Souvent absent, pour ne pas dire toujours, le père ne connaissait rien à sa fille, et se contentait de signer les chèques. La mère, quand à elle, couvrait sa fille de robes, de jouet et de cadeaux, oubliant au passage de l’aimer. Leur relation tenait plus de la petite fille et sa poupe barbie que de la mère et sa vie. Toujours ravie d’enfiler de nouvelles robes à sa fille, cette mère ne venait jamais la consoler suite à un cauchemar, ne sachant pas comment s’y prendre. Ce n’était pas elle non plus, qui prenait l’enfant dans ses bras quand celle-ci venait de s’écorcher les genoux sur du gravier. Elle répugnait à toucher sa fille dès que celle-ci était sale, malade ou en larmes. Le manque d’instinct maternel de cette femme était flagrant pour tout le monde, sauf pour elle et sa fille. L’une confondait enfant et jouet, et l’autre argent et amour.
Au moins cela n’empêcha pas la petite fille de grandir. Doucement, mais sûrement elle se persuada que l’argent pouvait tout, et qu’il était la seule valeur sûre qui existe. Elle s’illusionnait toujours autant sur l’amour de sa mère, prenant chaque cadeau comme une infaillible preuve d’amour. De fait, elle-même n’aimait personne réellement. Les autres personnes étaient au plus des compagnons de jeu. Il va sans dire que sa vie lui plaisait bien. Elle ne pensait pas manquer de quoi que ce soit, et aurait voulu rester toujours cette même enfant ornée comme un sapin de noël, avec des rubans roses et des dentelles pastelles.

Et puis, et puis il arriva. Ce petit être, cette petite chose qui accaparait sans vergogne le ventre et l’attention maternelle. Si longtemps après, qu’on avait peine à le croire.
Délaissée et vexée, la petite Eliska sentait bien le vent tourner. Avec une simplicité et une spontanéité enfantine malgré ses quatorze ans, l’idée lui vient. Clair comme de l’eau de roche, évidente comme le nez au milieu de la figure. Un beau matin, pieds nus sur l’épaisse moquette, recroquevillée contre la rambarde de la mezzanine, elle attendait patiemment le lever de sa mère. Dans sa chemise de nuit aux dentelles blanches, elle se confondait admirablement avec la décoration environnante. A un tel point que la frêle femme ne remarqua pas sa présence. A peine avait-elle atteint le haut des escaliers que les deux mains de l’indigne progéniture percutèrent le creux de ses reins, la précipitant, après de nombreux chocs, tout en bas de la volée de marche. Malgré la confortable moquette qui recouvrait les marches, la fragile constitution de la mère n’y résista pas, et l’enfant fût perdu.

Un véritable scandale, et un échec notoire pour Elka. C’est la mort de l’enfant qui lui mit le plus de bâtons dans les roues. Inconsciente de la gravité de son acte, elle n’avait pas cherché à se cacher, à se disculper. Restée debout comme un piquet en haut des escaliers, elle n’avait pas pensé un seul instant qu’elle pouvait de cette manière s’attirer les foudres de sa mère. Elle qui se pensait intouchable, la chute fût rude. En un tour de main, on lui retira à peu près tout sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Rendue un peu folle par l’incident, la mère ne faisait plus que pleurer et maudire sa fille, cherchant tous les moyens possible de la punir, sans oser l’approcher. La vue de l’enfant lui devint vite insupportable, et elle décréta qu’Elka était dangereuse, et qu’il fallait l’enfermer. Désireuse d’effacer définitivement ce jouet défectueux de sa vie, elle l’envoya dans un centre de redressement pour jeunes délinquants, quelque part à l’autre bout du pays.
Dans un bureau New-Yorkais, en voyant le nom de sa fille, le père signa distraitement le chèque qu’on lui présentait.

Hébétée, Eliska subit de plein fouet ce choc des cultures. En robe rose et souliers vernis, elle débarqua un beau matin parmi une impressionnante faune de criminels récidivistes, d’éducateurs et de gardiens.
C’aurait pût être pour elle le début d’une descente aux enfers, mais contre toute attente, elle se révéla plutôt débrouillarde. Dans cet environnement hostile, elle quitta enfin l’enfance et révéla ses qualités, et tout ce qui faisait d’elle une adulte. Insoupçonnable avec ses airs de petite fille perdue, elle se lança vite dans toutes sortes de trafics, et se découvrit à cette occasion des qualités de femme d’affaire, précieux héritage familial. Elle eût également la chance de rencontrer un psy avec lequel elle noua d’étroites relations. La trentaine dynamique, autoritaire sans être sévère, très ouvert, il s’était demandé le premier comment une godiche comme Elka avait bien pu atterrir dans un tel endroit. Il comprit bien vite qu’elle n’avait rien d’une psychopathe, mais qu’elle était désespérément déconnectée de la réalité. Tout le temps que dura son incarcération, il était pour elle un oasis de tranquillité, où elle pouvait agir sans craindre de se faire casser le nez, et avec qui elle pouvait parler art. Conscient qu’elle n’était pas faite pour ce genre de milieu, et qu’elle risquait de craquer tôt ou tard, le psy entrepris une démarche auprès des parents d’Elka pour la faire sortir de l’institut. Les refus s’enchainèrent, jusqu’au jour où la mère, qui ne voulait plus jamais entendre parler de sa fille, accepta de payer les frais exorbitant d’une école en Angleterre, pourvu que plus jamais on ne lui rappelle l’existence de sa progéniture.



i'm pseudo & i'm a geek


Urbanová Eliška 1190844


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    → CONNECTIVITÉ: 5à7j/7
    → LE RP ET MOI: Un an et quelques mois ! yeah! ça reste moyen, mais ça pourrait être pire.
    → COMMENT TU LES AIMES, LES FILLES ?:En papillotte, avec une julienne de legumes et juste un filet d’huile d’olive. Estival.
    → COMMENT AI-JE ATTERRI ICI:Par recherche sur des tops-sites
    → DES SUGGESTIONS ?:1- Les heures de colles le dimanche, y’a qu’ça d’vrai !
    2- Il m’a semblé remarquer que je suis sur un forum géré par des québécois, je me trompe ?




Dernière édition par Eliška Urbanová le Jeu 5 Juil - 12:20, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška EmptyJeu 5 Juil - 12:04

Tu ne te trompes pas : nous sommes bien deux québécois à la tête de ce navire qu'est Black Velvet.

Il me fait plaisir de t'accueillir parmi nous. J'attends avec impatience l'histoire de ton personnage. (n'oublie pas d'y préciser l'âge qu'elle avait quand elle a tué le foetus)
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MessageSujet: Re: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška EmptyJeu 5 Juil - 12:18

Voilà qui est fait !! :D
yeah ! je me suis pas tompée! *se sent intelligente* 8D
Et puis merci pour l'acceuil également.
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MessageSujet: Re: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška EmptyJeu 5 Juil - 12:38


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Fiche parfaite, c'est un sans faute. :) Je t'annonce que tu es officiellement validée. ^^


Maintenant, penses à:

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MessageSujet: Re: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška EmptyJeu 5 Juil - 13:04

yeah !! 8D
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MessageSujet: Re: Urbanová Eliška   Urbanová Eliška Empty

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